21 ans, Amiens
Léo, 21 ans, étudiant en alternance, est aujourd’hui en MBA Commerce et Data chez Pigier Amiens après un parcours complet en immobilier.
Pouvez-vous vous présenter et revenir sur votre parcours scolaire ?
Je m’appelle Léo, j’ai 21 ans. Après le bac, je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire, mais j’étais intéressé par l’immobilier. J’ai donc cherché à faire un BTS Professions Immobilières que vous proposiez chez Pigier. Je suis arrivé en 2022 pour ce BTS, que j’ai réalisé en alternance. Ensuite, comme il n’y avait pas de poursuite d’études en immobilier sur Amiens, mais que je souhaitais rester ici, j’ai décidé de faire un Bachelor Commerce. Cela m’ouvrait plus de portes, pas seulement dans l’immobilier, mais dans le commerce en général. J’ai obtenu ce Bachelor Commerce et aujourd’hui, je suis en MBA, toujours dans le domaine du commerce, avec le MBA Commerce et Data.
Pouvez-vous nous parler de votre entreprise d’accueil et de son évolution depuis vos débuts ?
Depuis le début de mon alternance, je suis dans la même entreprise. J’ai commencé dans une agence indépendante, Nessimo, qui est devenue en janvier 2024 une agence Century 21 en passant en franchise. Forcément, cela a changé de dimension. Mes missions ne sont plus tout à fait les mêmes. C’est beaucoup plus structuré, car c’est le premier réseau immobilier du monde. Nous n’avons pas les mêmes outils, ni les mêmes process. C’est très différent, mais intéressant, car j’ai pu voir les deux modèles : le côté indépendant et maintenant le côté franchisé, avec davantage d’accompagnement de la part du réseau. Ce n’est pas forcément plus simple, mais nous avons plus d’outils à disposition, notamment en communication. Century 21 est un nom très reconnu en France, alors que Nessimo était surtout connu localement, autour d’Amiens. Le passage sous l’enseigne Century 21 aide beaucoup pour l’image.
À quoi ressemble votre quotidien en agence ? Quelles sont vos principales missions ?
Dans l’immobilier, il y a forcément beaucoup de prospection. Cela passe par de la prospection physique, du porte-à-porte, du mailing – c’est-à-dire de la communication déposée dans les boîtes aux lettres – mais aussi de la prospection téléphonique. Mon objectif principal, c’est de rentrer des mandats. Une fois que nous avons ces mandats de vente, nous pouvons organiser les visites puis vendre le bien. Ma plus grosse mission reste donc la recherche de mandats à travers toute cette prospection.
Découvre toutes les formations de Pigier Amiens !
Êtes-vous toujours satisfait de votre activité aujourd’hui ?
Oui, tout à fait. Comme je vous le disais, il y a eu un vrai vent de fraîcheur avec le passage à Century 21. Cela a changé beaucoup de choses, même au niveau de la prospection, qui est devenue plus facile grâce aux opérations commerciales mises en place par le réseau. Par exemple, récemment, nous avons organisé une collecte de jouets pour les enfants à Noël. En novembre, nous sommes allés chez les particuliers récupérer des jouets pour l’association Yves Lefebvre. Cela donne une dimension plus humaine et plus profonde à la prospection : ce n’est pas juste « toc, toc, toc, est-ce que vous vendez ? ». Nous venons pour une bonne cause, et derrière, cela nous permet de rencontrer des gens, d’échanger, de créer du lien. Cela donne une bonne image et nous aide aussi à développer notre activité commerciale. C’est très intéressant, et oui, ce que je fais me plaît toujours autant.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de poursuivre tout votre parcours dans notre école ?
J’aime bien l’école, j’y ai mes habitudes. Maintenant que cela fait quatre ans que je suis ici, je retrouve souvent les mêmes formateurs, ou presque, et c’est quelque chose que j’apprécie. Les formateurs sont bons dans ce qu’ils font, ils ont un passé professionnel conséquent et savent de quoi ils parlent. Ce ne sont pas uniquement des professeurs « théoriques » : ils nous font travailler avec des exercices pratiques, notamment oraux. Ils partagent aussi beaucoup d’anecdotes issues de leur propre expérience, ce qui nous aide à nous projeter. Même s’ils n’ont pas tous fait exactement le même métier que nous, leurs exemples sur la gestion des litiges ou la relation avec un client récalcitrant nous donnent des clés. Ils nous préparent à faire face à ces situations grâce à des exercices. La qualité des enseignants et le suivi pédagogique font que l’on se sent bien dans l’école, et c’est pour cela que j’ai choisi de rester.
Quels conseils donneriez-vous à des jeunes qui hésitent encore à rejoindre Pigier ?
Pigier Amiens est une bonne école de commerce pour commencer en BTS. Je trouve que l’accompagnement est vraiment de qualité. Dans mon expérience, j’ai été agréablement surpris par l’aide apportée par les formateurs, qui sont là pour nous. Il ne faut donc pas avoir peur en se disant que ce sont des études supérieures. Il faut y aller sereinement : l’accompagnement est en place, et s’il y a de l’investissement et du sérieux, il n’y a aucune raison que cela se passe mal.